C'est toujours un régal de lire
Marie de Palet.
L'histoire de Isidore qui est parti très jeune, engagé dans les colonies et qui revient 30 ans après dans son village natal.
On comprend les sentiments de cette époque. Un village où on doit être attaché, on part on est devenu un étranger. On a été domestique, on doit rester un domestique, même si on est devenu plus risque que son ancien patron.
Marie de Palet vivant en ces lieux sait bien retracer ce qu'elle a vécu avec un oeil critique assez juste.
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