Polina Panassenko nous raconte ses souvenirs russes et français, souvent truffés d'humour, et sa découverte de la vie en France, en particulier de la scolarité dans un pays où tout le monde parle un langage qu'elle ne comprend pas. Son récit alterne d'un pays à l'autre, car à chaque période de vacances sa famille retourne à la « Datcha » voir les grands parents dans l'appartement communautaire.
J'ai apprécié tous les souvenirs familiaux de
Polina Panassenko, et sa façon de décortiquer son appartenance à deux langues. Roman agréable à lire, mais pas inoubliable.
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