Il dirait que les mégas compagnies s'affrontaient comme des armées du Moyen Age, que malgré leurs armes et leurs systèmes ultramodernes, c'était à cela que ça ressemblait le plus, au choc titanesque de guerriers caparaçonnés comme leurs montures, d'épées et de masses tranchant et broyant dans une mêlée d'enfer où rien ne distinguait les salauds des intègres.
On reconnait moins l'intelligence d'une personne à sa capacité de gagner de l'argent qu'à se manière de le dépenser.