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Critique de sophronie


Plonger dans les nuits mexicaines en ville le plus souvent, en campagne parfois.

Ambiance chaude, dépravée, survoltée entre mexicains et gringos, types louches, alcoolisés, accrochés aux basques de prostituées.

Tout est prétexte à violence : les règlements de compte, les femmes, la drogue, la folie, l'argent.

Un monde nyctalope, bestial, rugueux, tout dégénère vite pour une allumette, un regard.

Les hommes essayent d'échapper à leur destin dans le bras des femmes, de l'alcool, fuient et reviennent comme des mouches collées à de la glu.

Nouvelles machistes et noires.

3 nouvelles pour moi se détachent du lot :

La nuit la plus obscure, avec une construction en 4 tableaux qui s'entrecroisent. Crescendo de violence et de folie.

Le puits, folie pure et déjantée, à la limite du supportable.

Le chasseur, une pure expérience de western entre un mexicain qui a tué un blanc et un policier qui le cherche pour régler son compte et empocher une récompense.







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