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Critique de LEFRANCOIS
Camille Pascal raconte avec un luxe de détails la chute du Charles X, du 25 juillet au 18 août 1830, jour où il embarque à Cherbourg pour l'Angleterre avec toute sa famille et ses fidèles.
Les cent premières pages semblent longues car les détails des vêtements de cette noblesse dorée, de leur mobilier, de leurs domestiques, de l'étiquette rigide ralentit l'action. Puis progressivement on se prend à penser que ces gens vivent dans un monde fermé, un entre-soi toxique qui ne leur permet pas de comprendre l'évolution du peuple, ses attentes, sa vie misérable. Ils haïssent les gens du peuple et la plèbe lui rend bien.
Dire qu'il y a encore des nobles aujourd'hui qui pensent que la France irait mieux si un roi revenait au pouvoir !
Les cent premières pages semblent longues car les détails des vêtements de cette noblesse dorée, de leur mobilier, de leurs domestiques, de l'étiquette rigide ralentit l'action. Puis progressivement on se prend à penser que ces gens vivent dans un monde fermé, un entre-soi toxique qui ne leur permet pas de comprendre l'évolution du peuple, ses attentes, sa vie misérable. Ils haïssent les gens du peuple et la plèbe lui rend bien.
Dire qu'il y a encore des nobles aujourd'hui qui pensent que la France irait mieux si un roi revenait au pouvoir !
