Une nouvelle courte - très courte (ai-je déjà lu un livre aussi court ?) - mais qui nous entraîne en seulement 11 pages dans les affres du totalitarisme. Une dystopie qui n'est finalement pas éloignée d'une possible réalité, et qui nous questionne : puisqu'on accepte si facilement des petits changements qui nous dérangent, où placer le curseur entre ce qui est nécessaire pour le bien commun, et ce qui nuira finalement au plus grand nombre ? A quel moment se taire, et à quel moment parler ?
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