Il faut savoir qu'en lisant ce livre, vous déambulez dans les souvenirs et les névroses de
Doug Peacock. le récit n'a donc ni début ni fin, est décousu, parfois long, souvent répétitif. Ce livre apparaît davantage comme un effet salvateur pour l'auteur qu'une recherche de transmission quelconque pour le lecteur. Certes l'auteur est traumatisé à vie du Vietnam, certes il aime les déserts, certes il a une vaste connaissance de la faune, la flore et la géographie des États Unis, mais je ne sais au final pas vraiment quoi retenir de ce récit (que j'ai tenu à finir), et je suis soulagée de pouvoir passer au suivant.
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