En 2056, dans un environnement entre Matrix et le meilleur des mondes, Kader se traîne, morose, car depuis qu'on lui a injecté un
sérum qui l'oblige à dire la vérité, sa vie a totalement basculée.
Graphiquement, le découpage est très visuel et développe l'intrigue de manière très intéressante. On croise de nombreuses références culturelles, litéraires et cinématrographiques principalement. Mais j'ai trouvé les dialogues trop peu travaillés, trop lents, ce qui donnait une impression de déjà vu.
Dommage.
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