Elles n’y sont pas pour rien » est répétée comme une épitaphe et une justification des féminicides. C’est faux : elles sont victimes et non coupables
le défi n’est pas seulement de s’organiser sur la base de son propre désir, mais aussi de disputer le pouvoir sur le terrain du véritable ennemi, celui qui se trouve – sérieusement – du coté opposé de la rue