Phobos, tome 3 : Le Pacte des apparences (BD)

: Lorsque j'ai vu ce tome 3 en librairie, j'ai sauté sur l'occasion. Même sans avoir relu les deux précédentes BD, je me souvenais parfaitement de l'intrigue. Et quel bonheur de replonger dans cet univers !
Comme j'ai déjà pu le dire, je suis fan de cet univers de science-fiction et la fin est arrivée bien trop vite à mon goût… J'en reveux encore ! C'est qu'on devient facilement accro !
L'action est fidèle à celle du roman, comme toujours, quoique celle-ci ait été raccourcit pour concorder avec le format bande dessinée.
Les dessins sont toujours bien sympathiques et agréables à lire et à regarder.
En fin de compte, ça s'est bien laissé dévorer puisqu'à peine achetée, elle était déjà lue !
On est vite happé par l'intensité des moments et les dessins exacerbent bien cette impression. le suspense nous enveloppe toujours tout au long de la lecture, c'est génial ! Les émotions nous entrainent sans discontinuer dans l'action et nous montrent tantôt des moments solennels, tantôt des moments heureux. On sent que c'est abouti et passionnant !
Malgré tout, je persiste à dire qu'il faut avoir lu les romans avant les bandes dessinées parce que beaucoup de détails des livres ne sont pas forcément retranscrits dans la BD. Je trouve l'expérience beaucoup plus immersive lorsqu'on connaît déjà l'univers. La BD me semble plus une manière d'approfondir la lecture et l'univers.

Conclusion : Un tome 3 très vite dévoré que je vous recommande !

Un délice de retrouver les personnages et leurs histoires en BD, surtout quand les dessins sont aussi sublimes, même si j'ai une préférence pour le livre, la BD est superbe. Les dessins sont très fidèles, tout comme l'histoire, ce qui donne une autre dimension à la saga.

J'ai retrouvé avec plaisir l'univers de Phobos et j'ai bien apprécié cette suite tout à fait dans la continuité du livre de départ.
Si j'ai été surprise par le changement d'illustrateur : oui. J'avais pour ainsi dire adoré les illustrations des deux tomes précédents. Un peu refroidie devant la couverture, j'ai finalement été conquise par les illustrations à l'intérieur. Maria Francesca Perifano a bien su reprendre le flambeau (petit coup de coeur pour les anciens dessins quand même 😉)