Un roman qui présente des faiblesses. Depuis deux ou trois volumes
Anne Perry semble s'embrouiller dans les fils de sa série. Ainsi elle paraît avoir oublié que Vespasia a perdu une fille. Par ailleurs elle se répète dans les procédés qu'elle emploie. En outre les rôles de Charlotte, Emily et Gracie deviennent de plus en plus ténus alors que leur présence est la force de cette série. Et la politique prend une place trop grande au détriment des affaires privées. Ceci dit ce livre se lit agréablement quoique avec moins de passion et le thème anarchiste est intéressant et très bien exploité. C'est aussi un plaisir de voir Tellman mis en avant.
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