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Critique de Phoenicia
Un très bon Anne Perry que j'ai lu d'une traite. Une petite journée m'a permis d'abattre ce bon polar qui change un peu du schéma traditionnel des enquêtes de Thomas et Charlotte Pitt.
On retrouve bien entendu les ingrédients classiques : un meurtre qui touche la bonne société qui va tout faire pour étouffer le scandale, Thomas qui enquête de manière officielle, se heurtant aux sentiments de ces gentlemen peu coopératifs, Charlotte qui navigue en parallèle pour aider son époux grâce à ses relations (en occurrence Dominic Corde son ancien beau-frère, sa soeur Emily et Tante Vespasia) et la résolution du meurtre à la toute fin pour bien faire patienter le lecteur.
Pour autant, on retrouve des éléments que l'on retrouve plutôt dans la série Monk que dans celle des Pitt. En effet, Anne Perry en profite pour aborder les rouages de la justice britannique au XIXe siècle et le problème d'une erreur judiciaire, notamment dans le cas de la peine de mort. le milieu du roman nous entraîne ainsi au coeur d'un procès.
Comme à l'accoutumée, Anne Perry soulève des problèmes sociétaux dans le Londres du XIXe siècle. Pour le cas de ce roman il s'agit surtout de l'homosexualité encore considéré comme un crime et surtout de la prostitution des mineurs. Et également, dans une moindre mesure, le cas de la condition féminine avec les femmes qui sont sans cesse mise à l'écart de ces "sujets sordides" et qu'il faudrait pour autant éclairer!
Enfin, l'auteure a choisit de mettre Thomas en difficulté. Face à sa conscience, le voilà contraint de s'opposer au divisionnaire et surtout de souffrir la concurrence d'une jeune sergent bien trop zélé. On le voit ainsi en totale confusion et c'est bien sûr sa femme qui lui permet de voir l'enquête sous un jour nouveau!
Un très bon Anne Perry, vous l'aurez compris, pour les mordus du cycle. Je m'en vais de ce pas commencer le 7e opus!
On retrouve bien entendu les ingrédients classiques : un meurtre qui touche la bonne société qui va tout faire pour étouffer le scandale, Thomas qui enquête de manière officielle, se heurtant aux sentiments de ces gentlemen peu coopératifs, Charlotte qui navigue en parallèle pour aider son époux grâce à ses relations (en occurrence Dominic Corde son ancien beau-frère, sa soeur Emily et Tante Vespasia) et la résolution du meurtre à la toute fin pour bien faire patienter le lecteur.
Pour autant, on retrouve des éléments que l'on retrouve plutôt dans la série Monk que dans celle des Pitt. En effet, Anne Perry en profite pour aborder les rouages de la justice britannique au XIXe siècle et le problème d'une erreur judiciaire, notamment dans le cas de la peine de mort. le milieu du roman nous entraîne ainsi au coeur d'un procès.
Comme à l'accoutumée, Anne Perry soulève des problèmes sociétaux dans le Londres du XIXe siècle. Pour le cas de ce roman il s'agit surtout de l'homosexualité encore considéré comme un crime et surtout de la prostitution des mineurs. Et également, dans une moindre mesure, le cas de la condition féminine avec les femmes qui sont sans cesse mise à l'écart de ces "sujets sordides" et qu'il faudrait pour autant éclairer!
Enfin, l'auteure a choisit de mettre Thomas en difficulté. Face à sa conscience, le voilà contraint de s'opposer au divisionnaire et surtout de souffrir la concurrence d'une jeune sergent bien trop zélé. On le voit ainsi en totale confusion et c'est bien sûr sa femme qui lui permet de voir l'enquête sous un jour nouveau!
Un très bon Anne Perry, vous l'aurez compris, pour les mordus du cycle. Je m'en vais de ce pas commencer le 7e opus!
