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Critique de lechristophe
On peut résumer ce huitième tome de la série "Orcs & Gobelins" en disant que "La vengeance est un plat qui se mange froid".
Renifleur était un petit gobelin qui vivait paisiblement avec sa famille et sa tribu dans des grottes du Nodrënn. Jusqu'au funeste jour où des humains les ont tous massacrés. Lui a eu la vie sauve parce que le plus jeune fils d'un seigneur humain l'a choisi comme animal de compagnie. Encagé, il grandit en même temps que son jeune maître pour lequel il sert de pisteur à la chasse. Au fil des années, entre vexations, brimades et insultes racistes, il essaye de prouver à son maître qu'il peut être utile et qu'il peut s'intégrer dans la société humaine. Mais, est-il vraiment sincère ou a-t-il une idée derrière la tête ?
Encore un très bon album psychologique signé Olivier Peru. Au fil de la lecture, j'espérais une fin qui ne soit pas dégoulinante de bons sentiments du style "ils devinrent potes et vécurent heureux jusqu'à la fin de leurs jours". Mais je ne m'attendais pas à une telle montée en tension et à une telle débauche d'hémoglobine finale digne d'un film d'horreur.
Les dessins de Giovanni Lorusso et les couleurs choisies par Jambéri Nanjan accompagnent parfaitement le propos du scénariste.
Renifleur était un petit gobelin qui vivait paisiblement avec sa famille et sa tribu dans des grottes du Nodrënn. Jusqu'au funeste jour où des humains les ont tous massacrés. Lui a eu la vie sauve parce que le plus jeune fils d'un seigneur humain l'a choisi comme animal de compagnie. Encagé, il grandit en même temps que son jeune maître pour lequel il sert de pisteur à la chasse. Au fil des années, entre vexations, brimades et insultes racistes, il essaye de prouver à son maître qu'il peut être utile et qu'il peut s'intégrer dans la société humaine. Mais, est-il vraiment sincère ou a-t-il une idée derrière la tête ?
Encore un très bon album psychologique signé Olivier Peru. Au fil de la lecture, j'espérais une fin qui ne soit pas dégoulinante de bons sentiments du style "ils devinrent potes et vécurent heureux jusqu'à la fin de leurs jours". Mais je ne m'attendais pas à une telle montée en tension et à une telle débauche d'hémoglobine finale digne d'un film d'horreur.
Les dessins de Giovanni Lorusso et les couleurs choisies par Jambéri Nanjan accompagnent parfaitement le propos du scénariste.
