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Critique de FrancoMickey


Deux critiques en même pas une semaine d'intervalle, quelle générosité de ma part, je sais. La dernière fois que c'est arrivé Will Smith n'avait pas encore entamé sa carrière de gifleur professionnel et Bruce Willis avait encore des cheveux, enfin je crois. Bref, avec quatre ans de retard v'là que j'déboule pour vous lâcher mon avis 100% sérieux certifié sur une BD au succès furieux sur Babélio. Pourquoi quatre ans de retard ? Car 2 x 4 = 8 et 8 c'est symétrique et pair. Non mais et ta soeur (ou ton frère balec).

Si je vous dis une belle moustache (pas aussi ravissante que la mienne bien évidemment mais elle se défend bien), une moumoute à la Jackson Five et de la castagne et des courses-poursuites à gogo vous me dites quoi ? Non, ce n'est pas de l'adaptation en BD de Fast & Furious dont je vais vous parler mais bien du premier tome d'Il Faut Flinguer Ramirez. Attachez vos ceintures mes cocottes (les cocos pas besoin en bon mâles alpha que vous êtes) ça va swinguer.

Nicolas Petrimaux n'a rien révolutionné qu'on se le dise, puisqu'il puise son inspiration directement auprès de l'opéra Tarantinesque, mais notons qu'il le fait avec la manière. Prenez Pulp Fiction, ajoutez une un (gros, très gros) soupçon de Kill Bill ainsi que quelques notes épicées en provenance du Mexique et vous obtenez le joyeux bordel que voilà. C'est frais, ça pétarade de tous les côtés, c'est décomplexé à souhait et surtout, c'est enivrant.

Rassurez-vous, je n'ai pas acheté d'actions chez Glénat, j'ai juste pris mon pied à la lecture comme l'adolescent que j'étais à l'époque devant Kill Bill. Les aficionados de Pulp Fiction calmez-vous, je n'ai pas cité ce film car ça m'a fait suer à l'époque donc si vous n'êtes pas d'accord viendez vous batter le dimanche à partir de 20h au Transbordeur à Lyon je participe toutes les semaines aux combats clandestins car oui, j'aime me battre (une bise aux vrai(e)s qui ont la réf).

En prime, les dessins cartoonesques sont du plus bel effet avec une mise en couleurs aussi chaude que les décolletés de Laury Thilleman (je n'aurais jamais cru la citer dans un billet Babelio celle-là, croyez-moi, mais le hasard est parfois bien étonnant). C'est agréable pour le moral, pour les mirettes, et puis pour l'orgueil, cocorico merde ! Amateurs/trices ou non de BD, pour peu que vous aimiez l'action débridée et le cinéma popcorn vous devirez être servi(e)s.

Bon, j'vous laisse j'ai poney, bises.

PS : je reviens bientôt pour du lourd, du très très lourd. Non je ne tease pas, le tease vient à moi. #JeanClasse
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