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Critique de JIEMDE


Il y a des lectures qui deviennent des expériences. L'été est la saison propice aux expériences. Donc j'ai lu en cette fin juillet La Maison dans laquelle, de Mariam Petrosyan, traduit par Raphaëlle Pache.

Il y a des lectures qui nécessitent des aveux. Voici les miens : j'ai lu - tout lu, si, si, les 1070 pages -, me suis vite – très vite – perdu et je n'ai rien comprendu !

Il y a des lectures qui sont « trop ». Celle-ci l'a été. Trop imaginaire, trop abstraite, trop stagnante, trop énigmatique, trop étourdissante. Et donc trop longue !

Il y a des lectures qui ne sont pas pour moi, mais encore faut-il les lire pour le savoir, ce que je ne regrette jamais. Surtout quand elles sont faites en belle et joyeuse compagnie.

Il y a des lectures dont je ne vous parlerai donc pas plus, car je suis conscient que La Maison dans laquelle est un grand livre, clivant certes, mais un grand livre quand même. Et d'autres vous conteront mieux que moi les aventures de L'Aveugle, Chacal Tabaqui, Sphinx, Vautour, Pompée, Roux ou Fumeur.

Il y a des lectures qui laissent cependant quelques traces quoi qu'il arrive, comme cette violence sourde et étouffée placée en exergue de la Maison pour ceux qui voudraient y entrer un jour : « Salut à vous les avortons, les prématurés et les attardés. Salut, les laissés-pour-compte, les cabossés et ceux qui n'ont pas réussi à s'envoler ! Salut à vous, enfants-chiendent ! ». Vous êtes prévenus !
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