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Critique de Tandarica
Quelques mots (doux ! ) sur ce livre très cher à mon coeur. Je l'ai repris il y a quelque temps à cause d'une référence à Mateiu I. Caragiale (cf. page 124) et je me suis rendu compte à quel point il est merveilleux.
Il s'agit, comme on dit en Roumanie, de « prose courte, voire très courte » (parfois seulement quelques lignes presque aphoristiques).
Le titre se traduit par « Le Portrait de l'artiste entre deux âges ». L'auteur a la quarantaine quand le livre paraît, ce livre dont il dit l'avoir écrit en une seule année et puis attendu une dizaine avant qu'il ne soit publié.
Le thème est annoncé par ce syntagme : « le pouvoir de l'évolution (la seule révolution) ». Se souvenir ici, que nous somme tout juste après la révolution roumaine de 1989 et la liberté de parole retrouvée.
De l'introspection artistique, de l'amour et de la mort, des hommages à d'autres artistes, voire à la langue roumaine. Il y a un zeste de philosophie et un brin de poésie. La liste de tous les artistes (surtout des écrivains) cités serait trop longue à établir, mais le texte sur Nichita Stanescu (p. 114-115) est mémorable.
Je n'oublie pas les quelques dessins (faits par Petru Ionescu ?) qui émaillent le livre et regrette de ne pas avoir des informations les concernant. Ils sont dans le même style que la couverture.
Il s'agit, comme on dit en Roumanie, de « prose courte, voire très courte » (parfois seulement quelques lignes presque aphoristiques).
Le titre se traduit par « Le Portrait de l'artiste entre deux âges ». L'auteur a la quarantaine quand le livre paraît, ce livre dont il dit l'avoir écrit en une seule année et puis attendu une dizaine avant qu'il ne soit publié.
Le thème est annoncé par ce syntagme : « le pouvoir de l'évolution (la seule révolution) ». Se souvenir ici, que nous somme tout juste après la révolution roumaine de 1989 et la liberté de parole retrouvée.
De l'introspection artistique, de l'amour et de la mort, des hommages à d'autres artistes, voire à la langue roumaine. Il y a un zeste de philosophie et un brin de poésie. La liste de tous les artistes (surtout des écrivains) cités serait trop longue à établir, mais le texte sur Nichita Stanescu (p. 114-115) est mémorable.
Je n'oublie pas les quelques dessins (faits par Petru Ionescu ?) qui émaillent le livre et regrette de ne pas avoir des informations les concernant. Ils sont dans le même style que la couverture.
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