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Critique de mollymonade


La particularité du roman de Geneviève Pettersen est d'être écrit en langue saguenéenne, une langue truffée d'expressions régionales inconnues même des autres Québécois.
Dans une interview au Huffington Post Québec , l'auteur déclare : « L’histoire que je raconte est inintéressante si elle n’est pas racontée dans cette langue-là. J’ai été hyper rigoureuse dans mon travail. Les erreurs de langage sont réfléchies. Ça confinait à un registre très restreint, mais un roman, c’est d’abord et avant tout une voix. Quand je l’ai trouvée, je ne l’ai pas lâchée et je me suis laissée porter. »
J'avais vraiment envie de découvrir l'histoire de cette jeune fille, autoproclamée déesse des lucioles, mais j'ai été trop déroutée par les spécificités linguistiques du Saguenay. A mon grand regret, je n'ai pas réussi à m'y adapter et n'ai pas pu lire le roman dans sa totalité. Lire La déesse des mouches à feu s'est révélé pour moi, qui ne suis pas habituée à cette langue, aussi malaisé que de lire un roman qui serait écrit en ch'ti ou en rouchi.Je n'ai pas su me laisser porter par la poésie et la musique des mots de Geneviève Pettersen.
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