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Critique de gavarneur
Ces actes d'un colloque de 2009 rassemblent des sujets disparates autour des apports de la technique sur la pratique de la montagne :
-Les matériels de progression et de sécurité
-La révolution des fibres synthétiques pour l'habillement, le portage et le bivouac
-La physiologie et les performances
-Les techniques de localisation et d'information
-L'évolution des matériels et les conditions d'appropriation par les participants : un éclairage sociologique
Sur les premiers sujets, il y a de l'information utile (mais qu'on trouve facilement sur internet) , quelques récits personnels et des sujets de recherche assez incroyables : l'analyse de la gestuelle du débutant et de l'expert en cascade de glace, par exemple, avec les moyens de l'informatique telle qu'on l'imagine pour la réalisation des films d'animation.
Mais le dernier chapitre est vraiment intéressant, qui montre que l'innovation n'est rien tant que les mentalités ne sont pas prêtes à l'utiliser. L'exemple bien connu des chevilles hyperlaxes d'Armand Charlet et de son autorité morale empêchant l'adoption en France des pointes avant des crampons est tout-à-fait typique. Ces derniers textes surtout ont nourri ma réflexion, mais le reste se laisse parcourir, avec un peu de distance (l'usage du GPS et les logiciels associés ont beaucoup évolué en quelques années, par exemple).
-Les matériels de progression et de sécurité
-La révolution des fibres synthétiques pour l'habillement, le portage et le bivouac
-La physiologie et les performances
-Les techniques de localisation et d'information
-L'évolution des matériels et les conditions d'appropriation par les participants : un éclairage sociologique
Sur les premiers sujets, il y a de l'information utile (mais qu'on trouve facilement sur internet) , quelques récits personnels et des sujets de recherche assez incroyables : l'analyse de la gestuelle du débutant et de l'expert en cascade de glace, par exemple, avec les moyens de l'informatique telle qu'on l'imagine pour la réalisation des films d'animation.
Mais le dernier chapitre est vraiment intéressant, qui montre que l'innovation n'est rien tant que les mentalités ne sont pas prêtes à l'utiliser. L'exemple bien connu des chevilles hyperlaxes d'Armand Charlet et de son autorité morale empêchant l'adoption en France des pointes avant des crampons est tout-à-fait typique. Ces derniers textes surtout ont nourri ma réflexion, mais le reste se laisse parcourir, avec un peu de distance (l'usage du GPS et les logiciels associés ont beaucoup évolué en quelques années, par exemple).
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