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Critique de croquemiette
Maxine, la joueuse de poker qui n'a peur de rien. Maxine qui s'impose et en impose.
Dans ce monde très masculin, la belle, escortée par son flingue, n'a pas froid aux yeux et remet tous les malfrats sexistes à leur place.
Mais, sortie de la table de jeu et de son bluff, Maxine a ses faiblesses, et un lourd passé qui la poursuit.
Quand elle croise Zack et Balou, deux potes d'enfance, faisant des tours de passe-passe à la table de poker, elle est bluffée par leur entourloupe et tombe sous le charme de Zack...
Elle lui propose alors un coup, la partie du siècle avec un demi-million à la clé.
Qui est vraiment Maxine ? Qui se cache derrière ce petit bout de femme sexy et coriace ? Quelle est sa quête ?
Les personnages de Benoît Philippon sont toujours aussi sympathiques, surtout Maxine qui a de la poigne et lutte contre le sexisme et la connerie humaine. Elle a de quoi faire !
Sur fond d'ambiance de film noir et de gangster, on s'y croit, on y est, à ces tables de poker, où l'alcool et la fièvre du jeu échauffent les esprits.
Il y a des flingues, des liasses de billets, la mafia, des gros durs (à se lever le matin), de la violence et de l'abus de pouvoir. Il y a des femmes bafouées.
Mais surtout, il y a cette bonne dose d'humanité et d'amitié, qui font de ces durs des humains et les rendent si attachants.
Comme pour les romans précédents de Benoît Philippon, j'ai retrouvé ce côté cinématographique, qui fait que le roman se lit comme on regarde un bon film avec ces bons vieux dialogues à la Audiard, tellement truculents et drôles.
Un bon concentré d'émotions, dans une ambiance de jeu d'argent bien sale. La combinaison gagnante !
Dans ce monde très masculin, la belle, escortée par son flingue, n'a pas froid aux yeux et remet tous les malfrats sexistes à leur place.
Mais, sortie de la table de jeu et de son bluff, Maxine a ses faiblesses, et un lourd passé qui la poursuit.
Quand elle croise Zack et Balou, deux potes d'enfance, faisant des tours de passe-passe à la table de poker, elle est bluffée par leur entourloupe et tombe sous le charme de Zack...
Elle lui propose alors un coup, la partie du siècle avec un demi-million à la clé.
Qui est vraiment Maxine ? Qui se cache derrière ce petit bout de femme sexy et coriace ? Quelle est sa quête ?
Les personnages de Benoît Philippon sont toujours aussi sympathiques, surtout Maxine qui a de la poigne et lutte contre le sexisme et la connerie humaine. Elle a de quoi faire !
Sur fond d'ambiance de film noir et de gangster, on s'y croit, on y est, à ces tables de poker, où l'alcool et la fièvre du jeu échauffent les esprits.
Il y a des flingues, des liasses de billets, la mafia, des gros durs (à se lever le matin), de la violence et de l'abus de pouvoir. Il y a des femmes bafouées.
Mais surtout, il y a cette bonne dose d'humanité et d'amitié, qui font de ces durs des humains et les rendent si attachants.
Comme pour les romans précédents de Benoît Philippon, j'ai retrouvé ce côté cinématographique, qui fait que le roman se lit comme on regarde un bon film avec ces bons vieux dialogues à la Audiard, tellement truculents et drôles.
Un bon concentré d'émotions, dans une ambiance de jeu d'argent bien sale. La combinaison gagnante !
