Méditation buissonnière – quoique menée dans un contexte urbain –, ce livre est pourtant moins désinvolte qu'il n'y paraît, habité tout du long par une angoisse que résume parfaitement cette phrase de
Rilke citée par l'auteur : « On arrive, on trouve une existence toute prête, on n'a plus qu'à la revêtir. »
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