«Mais vivre sans tendresse on ne le pourrait pas. Nononon. On ne le pourrait pas»
Ainsi chantait Bourvil.
Ainsi le dessine
Aude Picault.
Mais si il fallait simplement dompter sa solitude plutôt que de chercher la tendresse quel qu'en soient les conditions ?
Le dessin est simple, efficace. Les images, à peine esquissées, des petits riens ou des quotidiens en neonat, terriblement justes et touchant.
Une bédé aigre-amère qui ne se lit pas sans un petit goût de larmes mais qui réussit à plaire et faire sourire, malgré tout.
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