Il y a très souvent de l'hémoglobine et des morts violentes dans les romans de
Gilda Piersanti, et celui-ci ne fait pas exception.
Dernier titre lu de cette auteur pour moi, mais en fait, premier où apparait l'inspecteur chef Mariella de Luca à Rome dans la brigade du commissaire D'Innocenzo.
Trois corps de jeunes filles, amicalement proches et du même quartier sont retrouvées assassinées, égorgées. Un tueur en série sévit-il dans ce quartier de Rome?
Devant les assauts de la presse et la psychose qui se développe, le supérieur du commissaire lui octroi une nouvelle recrue, qui a fait ses preuves dans sa région d'origine à L'Aquila dans les Abbruzes.
Mariella de Luca reprend tout à zéro, fouine, analyse, ne lâche pas le morceau et en quelques jours met le doigt sur le chaînon manquant: le mobile du premier meurtre.
Et à nouveau une histoire qui nous replonge dans le passé, vingt ans en arrière, comme c'est régulièrement le cas chez cette auteure. La grande Histoire rejoint la petite, bouleversant la vie d'un quartier par des crimes sordides.
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