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Les Saisons meurtrières tome 1 sur 8
EAN : 9782266175548
288 pages
Pocket (13/02/2008)
3.38/5   108 notes
Résumé :
Au cœur de la Ville éternelle ensevelie sous la neige, dans le très populaire et très branché quartier romain de Testaccio, une troisième jeune fille vient d’être assassinée, au beau milieu des fêtes de fin d’année. Le commissaire D’Innocenzo ne croit pas à l’ hypothèse du tueur en série que les journaux se plaisent à rabâcher, mais ne sait plus comment maîtriser la peur qui gagne les habitants du quartier et cette population jeune et nombreuse qui fréquente, le soi... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (24) Voir plus Ajouter une critique
3,38

sur 108 notes
À qui c'est la main coupée que l'on vient de retrouver dans la neige ? Que le légitime propriétaire vienne la réclamer à la morgue !

Les gens sont d'un sans-gêne (à Rome, pas à Gênes), tout de même. Ils laissent trainer leur main coupée dans la neige au risque qu'une pauvre passante fasse une attaque d'apoplexie en tombant dessus.

Pour le commissaire D'Innocenzo, ça commence à bien faire. Voilà la troisième jeune femme retrouvée assassinée dans les paisibles rues du quartier romain et branché du Testaccio. Un assassin se prendrait-il pour une sorte de Jack lo Squartatore à la sauce spaghetti ?

En plus, pour le contrarier un peu plus, on lui dépêche, en direct des Abruzzes, une femme flic qui, un jour, s'est prise pour Clint Eastwood version Blondin et à refroidi un meurtrier en tirant plus vite que Lucky Luke himself.

Alors ? Bon, ça cassera pas trois pattes à une dinde de Noël, mais voilà un petit polar à la sauce bolognaise bien sympathique à se réserver pour un moment où on a pas trop la tête à ça.

L'enquête avance bien, on ne traine pas inutilement tout en entrant dans la vie privée des différents protagonistes, chacun ayant sa croix à porter, sans que cela devienne redondant ou déjà-lu.

Le côté ours bourru du commissaire s'effaçant tout doucement devant sa nouvelle collègue, sans pour autant sombrer dans le mièvre à deux balle.

Quant à Mariella de Luca, notre inspectrice, bien que cabossée par la vie, elle est plaisante elle aussi. Sa vie sexuelle, par contre, est un peu borderline. Menottes et déguisement sont de mises pour la coquine.

Niveau style d'écriture, il est tout ce qu'il y a de plus correct, agréable à lire, plaisant, riche mais sans devoir sortir son dico à toutes les phrases.

À éviter de lire en pleine canicule car l'enquête se déroule durant la période des fêtes de fin d'année (on commence le lendemain de Noël) et n'oubliez pas de sortir la calculette car nous sommes avant l'Euro !

Rien d'exceptionnel dans ce roman si ce n'est qu'il est reposant, agréable à lire et que de temps en temps, ça fait du bien pour donner du temps de libre à son cerveau occupé ailleurs.

Lien : https://thecanniballecteur.w..
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J'avoue avoir pris peu d'intérêt à la lecture de cette intrigue policière dénouée par le commissaire D'Innocenzo et l'inspecteur principal Mariella de Luca.
Une jeune fille est "sauvagement" assassinée dans le quartier du Testaccio, à Rome. Plus exactement, après avoir été étranglée, elle a été découpée en plusieurs morceaux. S'agit-il d'un nouveau meurtre attribuable à un tueur en série ? En effet, deux autres filles ont déjà été tuées dans le même quartier. L'inspectrice Mariella de Luca, trente-trois ans, célèbre pour la résolution d'un crime dans les Abruzzes, a demandé à être affectée à l'enquête car elle s'intéresse à ce genre de crimes.
L'enquête de voisinage révèle que les trois meurtres ont un lien, le bel Alberto Tittoni, projectionniste dans le cinéma du quartier. Mariella de Luca ne tarde pas à s'intéresser à la soeur d'Alberto, Tecla, caissière dans le même cinéma et dont le train de vie a de quoi étonner.
Je ferai plusieurs reproches au roman de Gilda Piersanti. Sur la forme, tout d'abord. le style de l'auteur est terne et le livre est rédigé à coups d'images très conventionnelles. Sur le fond, la recette n'est pas plus originale : du sexe, un peu de perversion (notre ravissante inspectrice se déguise en femme fatale la nuit pour s'offrir quelques aventures de domination avec des hommes contactés sur internet), du porno et un zeste des luttes de l'ultra gauche dans les années 70. Comme on le sait, les recettes ne suffisent pas à faire de la bonne cuisine, il faut du talent.
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A l'instar de la plupart des films, les livres sonores s'ouvrent eux aussi sur une musique de générique. Titre, auteur, nom du lecteur, avec l'aimable autorisation de tel ou tel éditeur... En règle générale, cette musique est plutôt douce, puisant sa source dans un registre plus ou moins classique voire même new-age tendance feng_shui. Quel que soit le type de livre, le genre auquel il appartient, c'est à peu près toujours la même... musique. Aussi ai-je été très assez surpris, à peine le bouton play enclenché, d'entendre guitare et batterie emplir mes oreilles sur un rythme pop-rock assez plaisant. Pour avoir déjà entendu parler des goûts musicaux plutôt punchy de Gilda Piersanti et dont les références ne manquent pas de jalonner ses livres -Muse, Radiohead... -, je me suis dit qu'il y avait peut-être de sa griffe là-dessous. A moins que ce ne soit le simple choix des éditions Sixtrid dont c'était le premier disque que j'écoutais.

Enfin, bref, j'étais parti dans ce questionnement solitaire au point de ne pas faire très attention aux premières paroles du roman. Ça commençait bien niveau concentration. Bon, je me suis rattrapé par la suite. Madame Piersanti a en effet les mots, le style et une réelle qualité de conteuse pour à la fois capter votre attention et rendre ses personnages vivants et attachants, qu'ils soient secondaires ou non. du coup, un petit retour en arrière et c'était parti pour le premier tome des Saisons meurtrières, Rouge abattoir, dont l'action se situe entre le Noël et jour de l'an. En hiver, donc.

« Mercredi 26 décembre, 5 heures du matin.Un morceau de la troisième victime fut retrouvé le lendemain de noël devant le kiosque à journaux. »

Le morceau en question est une main. le corps sera découvert un peu plus tard dans la matinée. Dans un sale état, découpé en plusieurs morceaux à l'aide d'un couteau électrique.

Hep, hep, hep... bon à ceux qui tournent de l'oeil, je ne peux plus rien dire, peut-être liront-ils ces lignes un peu plus tard, une fois remis de leur trop forte émotivité. Pour les autres, ceux qui seraient tentés de passer leur chemin sous prétexte qu'un auteur, dans le seul but de ravir un public avide de sensations fortes, aurait une nouvelle fois surfé sur la vague du gore à tout va, restez. Restez parce qu'il serait dommage de se fier à une première impression. Surtout si elle est fausse. Car Rouge abattoir ne s'inscrit pas, mais alors pas du tout, dans ce créneau.

Qui dit troisième meurtre, exécuté selon un même modus operandi, dans un même quartier de la capitale, le Testaccio, suppose naturellement un tueur en série. C'est en tout cas ce que tout le monde pense, hormis le commissaire D'Innocenzo qui ne veut pas envisager un tel cas de figure. Lui reste persuadé que les meurtres des trois jeunes filles sont à mettre sur le compte d'une logique meurtrière dont il lui reste à démêler l'écheveau et à trouver le mobile. Il est aidé en cela par une inspectrice, Mariela de Luca, qui a spécialement demandé à rejoindre son service. Pas facile de tout mener de front entre l'enquête, problèmes personnels et gestion de la brigade avec l'arrivée de cette inspectrice opiniâtre, volontaire, mystérieuse et surprenante par bien des aspects.

C'est d'ailleurs cette Mariella de Luca qui tient le devant de la scène dans Rouge abattoir, et que l'on retrouvera dans les autres tomes dans les trois autres romans des Saisons meurtrières, ainsi que dans les tomes suivants, à savoir Vengeances Romaines et Roma Enigma. Ce n'est certes pas une nouveauté qu'un auteur se prenne d'affection pour ses personnages et en fasse en sorte qu'ils deviennent récurrents. Certains nous touchent plus que d'autres, nous semblent plus proches, font résonner en nous la corde vibrante du lecteur. Mariella de Luca est de ceux-là. Parce qu'elle ne ressemble à aucune autre, qu'elle est forte et sensible à la fois, bien ancrée dans son époque. L'Italie dans laquelle Gilda Piersanti la fait évoluer ainsi, il est vrai, que la voix de Hélène Lausseur participent bien sûr de ce plaisir que l'on a à la suivre. Si l'enquête est en elle-même assez classique – aficionados des rebondissements à chaque fin de phrase ou de chapitre, passez votre chemin – elle n'en reste pas moins prenante, ne serait-ce que pour comprendre si c'est dans la folie, le hasard, la passion ou L Histoire que l'on trouvera la source des meurtres hivernaux de Rouge abattoir.

Pour info, les Saisons meurtrières devraient bientôt voir le jour sur les écrans de télévision. Xavier Duringer est à la réalisation, Gilda Piersanti au scénario. Même si l'action se passera en France, au moins l'esprit des livres devrait-il être respecté. En tout cas, j'en suis ! - comme spectateur, cela va de soi...

Vert Palatino est également paru il y a peu en livre sonore dans la même maison d'édition. Il passera sous peu dans les écouteurs, sous la cagoule.
Lien : http://bibliomanu.blogspot.com
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Il y a très souvent de l'hémoglobine et des morts violentes dans les romans de Gilda Piersanti, et celui-ci ne fait pas exception.
Dernier titre lu de cette auteur pour moi, mais en fait, premier où apparait l'inspecteur chef Mariella de Luca à Rome dans la brigade du commissaire D'Innocenzo.

Trois corps de jeunes filles, amicalement proches et du même quartier sont retrouvées assassinées, égorgées. Un tueur en série sévit-il dans ce quartier de Rome?

Devant les assauts de la presse et la psychose qui se développe, le supérieur du commissaire lui octroi une nouvelle recrue, qui a fait ses preuves dans sa région d'origine à L'Aquila dans les Abbruzes.

Mariella de Luca reprend tout à zéro, fouine, analyse, ne lâche pas le morceau et en quelques jours met le doigt sur le chaînon manquant: le mobile du premier meurtre.

Et à nouveau une histoire qui nous replonge dans le passé, vingt ans en arrière, comme c'est régulièrement le cas chez cette auteure. La grande Histoire rejoint la petite, bouleversant la vie d'un quartier par des crimes sordides.
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C'est l'hiver. Rome est couverte de neige. Dans le petit matin, Assunta, la marchande de journaux, veut profiter du calme de ce dimanche pour mettre de l'ordre dans ses comptes. Hélas, elle n'a pas l'occasion d'ouvrir son kiosque car elle bute sur une main.
S'il rêvait d'un Noël calme, le commissaire D'Innocenzo va devoir déchanter : c'est la troisième femme qui tombe sous le couteau d'un tueur. Et, comme si ça ne suffisait pas, son chef lui envoie « la tigresse des Abruzzes », l'inspecteur principal Mariella de Luca.
Autant le dire tout de suite : je n'ai pas commencé cette suite par le début. On m'avait prêté le quatrième tome des « Saisons meurtrières » et, frustrée de ne pas saisir certaines allusions à des enquêtes précédentes, je me suis précipitée sur la série pour la dévorer depuis le début.
Dans ce premier épisode, on fait la connaissance des personnages principaux : le commissaire D'Innocenzo qui vit avec sa femme Ida, paralytique et aphasique. L'Inspecteur principal Marielle de Luca s'est déjà fait une réputation lors d'une précédente enquête, dans des circonstances bizarres. Elle a préféré changer d'air. On va découvrir qu'elle a des habitudes pour le moins étranges et assez dangereuses.
L'enquête n'est donc pas l'unique fil conducteur de ce roman divisé en chapitres assez longs, dont le titre est une date et un moment de la journée. Elle est assez rapide, puisque, commencée le 26 décembre à cinq heures du matin, elle est bouclée le 31, nuit du réveillon.
Gilda Piersanti, qui vit à Paris et écrit ses romans en français, est originaire de Rome. Elle nous balade dans les rues et quartiers de la ville éternelle. Un plan, inséré au début du livre nous permet de nous situer.
Les personnages ont une vie propre dont l'auteur nous dévoile quelques aspects tout au long des romans, ce qui leur donne de l'épaisseur.
Le dénouement m'a un peu déçue, mais l'auteur n'a rien laissé dans l'ombre Tous les indices semés au fil de la lecture sont utilisés, ce qui n'est pas toujours le cas dans les romans policiers.
Ce qui m'a un peu déplu, c'est une grande violence et une scène, en particulier, dont je ne peux rien révéler, mais qui s'en prend à un animal, ce que je ne supporte pas.
Sinon, j'ai bien aimé cette première enquête.
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Citations et extraits (7) Voir plus Ajouter une citation
Seulement, voilà, les femmes demandent toujours des explications, c'est leur soif. Les mots, ça ne leur suffit jamais, et si on leur en donne un petit peu, elles en redemandent. On finit toujours, alors, par en lâcher un de trop.
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Le lendemain de bonne heure, D’Innocenzo avait reçu l’appel du chef, le vicequestore Cacciolli, qui supervisait l’affaire de Testaccio. Le Dr Cacciolli, qui avait lui-même reçu l’appel du substitut du procureur, le juge Lauretti, lui annonça sans façon qu’il allait mettre sur l’enquête l’inspecteur principal De Luca, aux ordres du commissaire bien évidemment. « Elle est jeune, elle est futée, tu verras, ça te changera de Genovese et de Casentini ! Lauretti ne jure que par elle ! » avait-il ajouté de ce ton qui n’attend pas de réplique. D’Innocenzo n’avait pas fait de commentaires, mais il n’en pensait pas moins. Il n’aimait pas les changements, et ceux décidés par ses supérieurs encore moins que les autres.
Il avait ses habitudes, les inspecteurs Genovese et Casentini le connaissaient, savaient à chaque instant ce qu’il attendait d’eux, ils n’avaient pas besoin d’explications. Ce ne serait pas la même chose avec un nouveau, qui de plus serait une nouvelle !
« Encore une femme, pensa-t-il en pénétrant dans le café de Franco Rinaldi, elles sont partout en cette fin de siècle, et ce n’est pas le sang qui les arrête. On dit même, dans la police, qu’elles ont plus de couilles que les hommes ! » Peut-être bien, il n’était pas contre les femmes, lui, quoiqu’on raconte sur son compte. Seulement, voilà, les femmes demandent toujours des explications, c’est leur soif. Les mots, ça ne leur suffit jamais, et si on leur en donne un petit peu, elles en redemandent. On finit toujours, alors, par en lâcher un de trop.
Les femmes, il ne savait pas travailler avec, le commissaire.
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- J'ai fait un an de médecine après mon droit. J'ai mis longtemps à trouver ma voie.
- L'avez-vous trouvée dans la police ?
- Je crois. En tout cas, j'ai moins de doute qu'avant.
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Mercredi 26 décembre, 5 heures du matin. Un morceau de la troisième victime fut retrouvé le lendemain de noël devant le kiosque à journaux.
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Par chance, elle n'était pas d'un naturel à lâcher des confidences sous l'emprise du vin ; sobre ou éméchée, la curiosité l'emportait toujours sur le besoin de se livrer elle-même.
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Vidéo de Gilda Piersanti
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