Merci à
Monique Pinçon Charlot d'avoir eu le courage d'écrire après les événement de la vie qu'elle écrit.
Elle retrace l'histoire d'un combat celui contre le passage de la retraite à 64 ans.
Il y a de l'humour dans cette écriture.
On trouve la chanson de
Boris Vian,
le déserteur révisait par des militant CGT sur le thème des retraites.
Dans un des chapitres, elle montre comment les éléments de langages peuvent manipuler la compréhension.
Dans ce même chapitre, Monique Charlot nous apprend à être attentif aux clins d'oeils qui ont des corollaires avec des accointances.
Les chapitres sont concis.
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