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Critique de nathf
Nantes - Années 2000 - Greg Brandt,, enquêteur retraité, s'est recyclé dans le social en essayant de faire décrocher les drogués de leur addiction.
Bien entendu, cela ne fait pas les affaires des dealers de la région qui le font bien comprendre à Greg.
Quand une grosse prise d'héroïne est volée au 36 Quai des Orfèvres et une jeune policière tuée, l'enfer se déchaîne......
3ème opus de la série "Nuits nantaises" et, selon moi, celui-ci est encore meilleur que les précédents, c'est tout dire!
Dès les 1ères pages, Carl Pineau plante le décor et l'on se doute que l'ex-enquêteur va en voir de toutes les couleurs.
Il approfondit encore ses personnages et l'on ne peut que ressentir de l'empathie pour certains, de la suspicion pour d'autres.
Avec une écriture très réaliste, l'auteur dépeint notre époque plus que brutale où les émeutes et les violences urbaines sont notre lot quotidien.
Fini les codes d'honneur entre les bandes et les flics, la guerre est déclarée. Guerre que l'écrivain décrit dans certaines scènes à la limite du soutenable mais qui ne sont pas gratuites et qui représentent malheureusement la barbarie et les dérives que les trafics engendrent.
C'est avec mélancolie que je referme le dernier tome de la trilogie mais je n'ai aucun doute sur l'avenir littéraire du romancier.
Bien entendu, cela ne fait pas les affaires des dealers de la région qui le font bien comprendre à Greg.
Quand une grosse prise d'héroïne est volée au 36 Quai des Orfèvres et une jeune policière tuée, l'enfer se déchaîne......
3ème opus de la série "Nuits nantaises" et, selon moi, celui-ci est encore meilleur que les précédents, c'est tout dire!
Dès les 1ères pages, Carl Pineau plante le décor et l'on se doute que l'ex-enquêteur va en voir de toutes les couleurs.
Il approfondit encore ses personnages et l'on ne peut que ressentir de l'empathie pour certains, de la suspicion pour d'autres.
Avec une écriture très réaliste, l'auteur dépeint notre époque plus que brutale où les émeutes et les violences urbaines sont notre lot quotidien.
Fini les codes d'honneur entre les bandes et les flics, la guerre est déclarée. Guerre que l'écrivain décrit dans certaines scènes à la limite du soutenable mais qui ne sont pas gratuites et qui représentent malheureusement la barbarie et les dérives que les trafics engendrent.
C'est avec mélancolie que je referme le dernier tome de la trilogie mais je n'ai aucun doute sur l'avenir littéraire du romancier.
