Tous les fleuves vont à la mer

Quelques passages intéressant sur le judaïsme surtout au début du livre. Après l'ennui vous prend dans ses bras et ne vous lâche plus. Tout le long de l'ouvrage j'ai attendu un quelconque rebondissement qui me ferait vibrer. Bien sûr, il y en a quelques uns, mais que de passages vides et inutiles ! le personnage de Paul Werner est terne, sans relief, le lecteur ne comprend pas l'intérêt de cette passion entre les deux amants.
Ou alors tout ceci ne serait qu' une ode au renoncement et au devoir et à l'honneur de la femme mariée. Personnellement il m'en faut plus pour accrocher et rester en compagnie d'un tel pavé. Je suis néanmoins parvenue à la fin, toujours dans l'espoir d'un surprenant dénouement et ben non, j'ai refermé le livre comme on clôture une corvée.