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Critique de Etoilesonore
Enfin un peu de temps pour lire la suite du livre d'Anne Plichota et Cendrine Wolf!
Ce qui e pressentait à la fin du tome précédent, avrrive: des miséreux prennent d'assaut la tour de David, cet immeuble de quarante étages inachevé, où tant bien que mal, les Gracias et tant d'autres vivaient dans une recherche de vie la plus harmonieuse possible possible, malgré la misère ambiante. Ainsi, les Gracias se voient obligés de fuir, avec Mamaria, la matriarche qui les a pris sous son aile, de même que la petite Mila, 3 ans. Nous les avions laissés, à afin du tome 1, avec Alice, une infirmière française venue apporter une aide humanitaire auprès des plus défavorisés.
Or les voici chassés de cette tour où c'était instauré une véritable communauté de vie... mais qui faisait bien des envieux.
Notre petite troupe trouve momentanément refuge dans un parc où la promiscuité avec une population aux abois leur fait comprendre rapidement qu'ils ne pourront durablement rester en ce lieu.
Parallèlement, nous suivons les pérégrinations de ceux autres ados, Shaun qui n'est autre que le fils d'Alice et son amie Fany. Eux aussi sont obligés de fuir leurs Landes natales dévastées par des feux gigantesques et maintenant sous la menace de l'explosion d'une centrale nucléaire insuffisamment refroidie. C'est à vélo qu'ils partent avec l'intention de rejoindre les grands-parents de Fany en Alsace. Là aussi, l'entreprise est périlleuse car ils doivent traverser tout le pays en proie aux pillages et aux restriction, ainsique qu'à des bandes armées qui tentent de pallier, à leur manière, aux manquement de la police, concentrée sur les villes.
Comme dans le précédent ouvrage, nous alternons avec le récit de ces deux groupe en fuite, car les Gracias vont avoir l'opportunité de monter à bord d'un immense cargot en partance pour Saint-Nazaire, en France.
Les deux groupes vont être amenés à rencontrer ce que l'humanité fait de mieux et de pire dans une situation cahotique.
Sont pointés les conséquence écologiques, économiques et politiques de l'inaction climatique à travers cette odyssée.
Ce qui e pressentait à la fin du tome précédent, avrrive: des miséreux prennent d'assaut la tour de David, cet immeuble de quarante étages inachevé, où tant bien que mal, les Gracias et tant d'autres vivaient dans une recherche de vie la plus harmonieuse possible possible, malgré la misère ambiante. Ainsi, les Gracias se voient obligés de fuir, avec Mamaria, la matriarche qui les a pris sous son aile, de même que la petite Mila, 3 ans. Nous les avions laissés, à afin du tome 1, avec Alice, une infirmière française venue apporter une aide humanitaire auprès des plus défavorisés.
Or les voici chassés de cette tour où c'était instauré une véritable communauté de vie... mais qui faisait bien des envieux.
Notre petite troupe trouve momentanément refuge dans un parc où la promiscuité avec une population aux abois leur fait comprendre rapidement qu'ils ne pourront durablement rester en ce lieu.
Parallèlement, nous suivons les pérégrinations de ceux autres ados, Shaun qui n'est autre que le fils d'Alice et son amie Fany. Eux aussi sont obligés de fuir leurs Landes natales dévastées par des feux gigantesques et maintenant sous la menace de l'explosion d'une centrale nucléaire insuffisamment refroidie. C'est à vélo qu'ils partent avec l'intention de rejoindre les grands-parents de Fany en Alsace. Là aussi, l'entreprise est périlleuse car ils doivent traverser tout le pays en proie aux pillages et aux restriction, ainsique qu'à des bandes armées qui tentent de pallier, à leur manière, aux manquement de la police, concentrée sur les villes.
Comme dans le précédent ouvrage, nous alternons avec le récit de ces deux groupe en fuite, car les Gracias vont avoir l'opportunité de monter à bord d'un immense cargot en partance pour Saint-Nazaire, en France.
Les deux groupes vont être amenés à rencontrer ce que l'humanité fait de mieux et de pire dans une situation cahotique.
Sont pointés les conséquence écologiques, économiques et politiques de l'inaction climatique à travers cette odyssée.
