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Critique de dezecinte


Ecrit après "Stalingrad", publié en 1945, ce roman se situe évidemment chronologiquement avant son prédécesseur, dont on retrouve plusieurs des protagonistes. Theodor Pliever, allemand communiste passé à Moscou avant de déchanter, a publié les deux autres volumes de sa trilogie dans les années 50, après sa rupture avec l'URSS. D'où, probablement, une vision moins apologétique de Staline et de son entourage. Que l'on se rassure, le méchant de l'histoire reste bien Hitler, qui a envoyé, comme Napoléon avant lui, des centaines de milliers de soldats à l'abattoir dans les plaines russes gelées. J'ai trouvé la lecture de ce bouquin plus facile que celle de "Stalingrad", l'auteur mêlant plus habilement histoires individuelles des soldats, à partir des témoignages recueillis auprès des prisonniers allemands et des anciens combattants russes, et description globale des opérations militaires. Heureusement que la conjonction des réserves armées asiatiques de Staline et du "général Hiver" ont pu stopper, in extremis, la wehrmacht ax portes de Moscou
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