Un soir glacial de décembre, un homme aussi dans sa chambre, s'assoupi sur son livre, en pensa à Lenore, sa dulcinée maintenant décédée.
Mais un bruit à sa porte le sort de sa rêverie. Après avoir fait plusieurs hypothèses et s'être enfin fait une raison il ouvre et malgrès sa torpeur... à un corbeau majestueux. Amusé, mais intrigué il demande bêtement son nom. La corbeau répond alors "Jamais plus". le narrateur s'interroge et demande d'autres questions.
Mais
le corbeau répond à chaque fois Jamais plus.
Tétanisé, l'homme se rend compte qu'il est comme sous l'emprise du Corbeau jusqu'au lendemain qui ne fait que de répéter "jamais plus".
L'atmosphère un peu féerique se voile dès l'arrivé du corbeau qui fait sombrer le narrateur dans une sorte de folie tétanisante.
Un oiseau rempli la pièce par son ombre et par son refrain jamais plus.
L'écriture poétique rend la narration plus tendue. Comment un simp
le corbeau peut-il faire aussi peur!
Et aussi, je ne pourrai pas faire cette critique sans évoqué Les Simpson qui l'a mis en scène pour leur premier Simpson Horror Show. C'est comme même grâce à eux que j'ai entendu
le Corbeau quand j'était petite.
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