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Critique de docline
En gros, tout le premier tiers c'est vraiment de la daube, un petit roman dans la lignée d'une Jenny Colgan ou d'une Sophie Kinsella mais sans le talent de conteuse de ces dernières ... On s'en veut d'avoir la flemme de se lever pour chercher un autre bouquin à lire en mangeant (oui, je lis toujours à table),
puis on se dit qu'on a bien fait de ne pas le balancer trop vite car dans un second tiers, ce texte à peine au niveau des forums de psychologie magazine ou de au féminin point com pose quelques vraies questions sur la destinée le libre arbitre tout ça tout ça,
puis l'auteure reprend ses ficelles d'écriture à deux balles pour être sûre de retomber sur ses pieds dans le cadre d'une future série aux personnages récurrents.
Bon. Un prochain jour de grande fatigue de lectrice je me contenterai des petites écrivaines anglaises qui maîtrisent mieux leur recette.
puis on se dit qu'on a bien fait de ne pas le balancer trop vite car dans un second tiers, ce texte à peine au niveau des forums de psychologie magazine ou de au féminin point com pose quelques vraies questions sur la destinée le libre arbitre tout ça tout ça,
puis l'auteure reprend ses ficelles d'écriture à deux balles pour être sûre de retomber sur ses pieds dans le cadre d'une future série aux personnages récurrents.
Bon. Un prochain jour de grande fatigue de lectrice je me contenterai des petites écrivaines anglaises qui maîtrisent mieux leur recette.
