Papa est effondré.
Les enfants déracinés.
Maman est partie.
Vers un ailleurs loin d'ici.
C'est le grand vide.
Le désespoir, l'arrêt du temps.
Qui suspend son bruissement.
Corbeau surgit de nulle part.
Sûrement pas là par hasard.
Se charge de remplir la fissure.
Accompagne le désarroi.
Qui transpire à chaque pas.
Redonne une direction.
Un élan, une reconstruction.
L'écriture est atypique.
La mise en page itou.
Les mots sont forts.
Evocateurs et puissants.
Lâcher-prise est le sentiment
qui me vient pour pénétrer,
L'étrangeté de ce roman.
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