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Critique de gill


C'est le vilain petit canard, le livre qui vient mettre fin à une longue liste d'ouvrages passionnants, dévorés goulument sans reprendre souffle.
Après lui, l'on peine à se replonger tout de suite dans quelque page.
L'on traîne un ennui littéraire qui semble sans fin.
L'on revient, hébété, à la vie réelle.
Bah ! Il faut aller au boulot !
Hum ! le frigo est vide !
Ah ! L'on dort à côté de quelqu'un !
L'on fouille désespérément la pile de livres de secours sans décidément n'y être attiré par aucun.
Bref ! C'est la morosité, la grisaille et le spleen !
"Le secret de la falaise" est un vilain petit canard.
Son récit est lent, sans véritable rebondissement et l'ennui, très vite, s'installe à sa lecture.
Il peine à captiver, à retenir l'intérêt de son lecteur.
Il semble écrit en temps réel et les allées et venues, les petites contingences auxquelles sont soumis les personnages viennent froidement délayer le suspens.
Beaucoup de pas pour rien ! pourrait-on dire !
Lorsqu'aux deux tiers du bouquin, l'action s'accélère un peu, il trop tard.
L'épilogue est trop près.
Il était d'ailleurs attendu et convenu.
Il est sans aucune surprise.
Pourtant le "pitch" était prometteur !
James Cameron, dans une vieille boutique londonienne, avait déniché la première édition de "Crudités" de Coryat, un récit de voyage publié en 1611.
Aussitôt, un dénommé Skinner lui avait proposé une forte somme pour la racheter.
Le livre avait appartenu à Howard Franklyn, l'avant-dernier descendant d'une très ancienne famille devenue propriétaire de l'abbaye de Bredbridge après la dissolution du clergé par Henri VIII.
A la première page de l'ouvrage, avait été inscrit un cryptogramme mystérieux ...

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