Suite de "
Je m'appelle Asher Lev", nous retrouvons
Asher devenu adulte, marié et père de deux enfants. Nous plongeons à nouveau avec lui dans les affres de la création artistique, dans ce déchirement permanent entre foi et peinture, entre famille et liberté.
Si j'ai trouvé quelques longueurs à ce deuxième tome, il m'a tout autant bouleversée. Peut-être est-il moins flamboyant que le premier, mais tellement profond et réaliste. Ce qui m'a le plus interrogé est sans doute la place du Rebbe dans la vie d'
Asher et de sa famille, ce croisement perpétuel entre obéissance et liberté.
Chaïm Potok nous conduit une nouvelle fois au coeur de l'âme humaine et de ses tourments.
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