J'avais été séduite par Onegin, film de Martha Fiennes inspiré du roman de
Pouchkine : tant par l'histoire de ce dandy byronien qui refuse de céder à un amour salvateur, que par sa touche fine et onirique. M'étant plongée dans le roman écrit entre 1823 et 1830, j'ai été à plusieurs titres surprise par l'originalité de cette oeuvre.
Onéguine semble jouer sans cesse. D'abord avec les formes habituelles du roman : le sien est en vers et même en strophes (de quatorze vers). Il se permet, comme Hugo dans ses Contemplations (1856) mais pour d'autres raisons, de mettre des lignes de points dans une strophe, ou encore d'en retrancher tout simplement, notant simplement les numéros des strophes fantômatiques.
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