 | matthieupoux le 05 juillet 2020
Bonjour à toutes et tous, C'est toujours un plaisir, pour un auteur, de découvrir l'avis de ses lecteurs. S'ils sont globalement très positifs, beaucoup insistent sur les difficultés rencontrées à la lecture de certains passages... et recommandent de se munir d'un bon dictionnaire ! Dans mon esprit, la compréhension de tous les détails historiques n'était pas nécessaire à la lecture du récit, qui se veut un divertissement avant tout. Néanmoins, le lecteur touche-à-tout que je suis peut comprendre que les lecteurs restent parfois sur leur faim. Ce fil est là pour les rassasier. J'y répondrai à toutes vos questions, concernant la matière ou les coulisses du roman, l'archéologie ou la Gaule... C'est mon premier métier, n'hésitez-pas ! Me réjouissant de vous lire, Salvete ! Matthieu Poux |
 | Monicar le 11 avril 2021
Monica Magistro s.d. Tout d'abord, merci pour ce livre que j'ai dévoré ce week-end! Je ne sais pas si vous suivez encore ce fil de conversation, mais si oui, j'aurais une question. Je me demande comment Karin et l'expert du labo se rendent compte qu'ils ont à faire à une poupée. Caius est contemporain des évènements, il peut reconnaitre une poupée, mais les archéologues modernes sont en présence d'une figurine décapitée. A quoi reconnaissent-ils la fonction de cette figurine? Merci. Monica |
| matthieupoux le 12 avril 2021
Bonjour et merci beaucoup pour votre retour ! Ces poupées antiques sont façonnées dans des matériaux (os ou ivoire) et surtout, comportent des membres articulés qui écartent tout risque de confusion avec d'autres figurines (statuettes votives...). Reconnaissables même à l'état de fragments, tous les grands musées d'Europe en possèdent dans leurs vitrines et il m'arrive de les signaler à mes étudiant.es. Toute anthropologue de terrain qu'elle est, Karin a usé ses shorts sur les bancs de la faculté et a dû en conserver quelques souvenirs... Vous souhaitant un excellent début de semaine, Votre dévoué  |
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