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Critique de bookpass
Je ne regrette qu'une chose : ne pas avoir savouré cette lecture en buvant un verre de blanc ! un Pouilly Fuissé ou alors un Saint Aubin... pour profiter encore plus de ce moment.
Le narrateur, amateur de blanc en fin de matinée avant que l'heure du rouge ne soit arrivée, est somme toute assez exigeant. Il y blanc et blanc et surtout il y a l'ambiance dans laquelle on le déguste.
Ni une ni deux, après quelques déceptions, il décide de chercher le bar parfait : les critères sont sévères : la qualité et le choix du blanc proposé évidemment, l'ambiance au comptoir et le niveau de conversation des accoudés au comptoir, l'accompagnement : olives ou cacahuètes : attention ce critère est éliminatoire.
Comme il y a quand même pléthore de bars à Paris, il convient d'être méthodique ; c'est donc en suivant l'ordre des cases du Monopoly que notre amateur de blanc va organiser sa recherche. de la rue de Belleville à la Rue de la paix !
En même temps, on devine quelques truands en train de préparer un mauvais coup.. leur chemin va t-il croiser celui de notre chercheur ?
C'est d'une écriture très fluide et avec beaucoup d'humour que Jean-Bernard Pouy nous livre ce qui ressemble fort à une éloge du "petit blanc" : celui qui se boit au troquet seul ou bien accompagné, sans prétention, qui ouvre les esprits et permet l'observation à la dérobée, perdu dans ses pensées. Instant de méditation presque.
Au milieu des réflexions existentielles de notre chercheur, les dialogues des truands qui préparent un mauvais coup sont intégrés sans annonce ni distinction : et cela fonctionne très bien.
C'est délicieux et ça donne soif !
Le narrateur, amateur de blanc en fin de matinée avant que l'heure du rouge ne soit arrivée, est somme toute assez exigeant. Il y blanc et blanc et surtout il y a l'ambiance dans laquelle on le déguste.
Ni une ni deux, après quelques déceptions, il décide de chercher le bar parfait : les critères sont sévères : la qualité et le choix du blanc proposé évidemment, l'ambiance au comptoir et le niveau de conversation des accoudés au comptoir, l'accompagnement : olives ou cacahuètes : attention ce critère est éliminatoire.
Comme il y a quand même pléthore de bars à Paris, il convient d'être méthodique ; c'est donc en suivant l'ordre des cases du Monopoly que notre amateur de blanc va organiser sa recherche. de la rue de Belleville à la Rue de la paix !
En même temps, on devine quelques truands en train de préparer un mauvais coup.. leur chemin va t-il croiser celui de notre chercheur ?
C'est d'une écriture très fluide et avec beaucoup d'humour que Jean-Bernard Pouy nous livre ce qui ressemble fort à une éloge du "petit blanc" : celui qui se boit au troquet seul ou bien accompagné, sans prétention, qui ouvre les esprits et permet l'observation à la dérobée, perdu dans ses pensées. Instant de méditation presque.
Au milieu des réflexions existentielles de notre chercheur, les dialogues des truands qui préparent un mauvais coup sont intégrés sans annonce ni distinction : et cela fonctionne très bien.
C'est délicieux et ça donne soif !
