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Critique de SChaptal


En 2021, je prenais un peu par hasard un space opera pour lire en vacances et découvrir un nouvel auteur : Braises de guerres de Gareth L. Powell. L'été suivant j'ai lu le deuxième tome et… Oui, j'ai fini la trilogie cet été avec L'éclat d'étoiles impossibles. Et j'avoue que j'ai eu un peu de mal au début à raccrocher les wagons et surtout à me souvenir du rôle de chacun des personnages humains (curieusement Nod et ses petits et les différents vaisseaux ou leurs avatars ne m'ont posé aucun problème). Mais j'ai pris énormément de plaisir à dévorer ce bouquin en une journée de farniente.
L'histoire commence juste à la fin de L'Armada de marbre, avec deux prologues pour nous rappeler les événements précédents (sans s'alourdir non plus), fait un saut à l'autre bout de la galaxie et quatre ans plus tôt puis enchaîne les événements à fond de train, sans nous laisser le temps de souffler et en sautant du Chien à problèmes et son équipage à la nouvelle venue, Cordelia Pa, sans que l'on comprenne au début ce qui relie les deux. Mais comme dans tout bon space opera, les fils finissent par se rejoindre et une bataille spatiale aux proportions épiques (et avec des dragons et des écrevisses !) conclut parfaitement cette trilogie.
Si L'Armada de marbre en tant que tome de transition m'avait laissé sur ma faim, ce n'est pas du tout le cas de L'éclat d'étoiles impossibles. Toutes les trames ont trouvé leurs résolutions, même la fin ouverte laisse littéralement tout un nouvel univers à explorer (ou à reconstruire selon votre point de vue). Pourtant l'intrigue n'est pas prévisible et l'auteur multiplie les fausses pistes jouant avec nos nerfs, comme avec ceux de ses personnages. Et cette conclusion tient les promesses du premier volume : offrir un peu d'aventures par-delà les étoiles avec des personnages attachants et nuancés.
Lien : https://www.babelio.com/livr..
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