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Critique de jeandubus


La chambre aux échos
La lecture de ce lourd roman demande de l'effort, de la patience et de la concentration.

L'un de ces paramètres vous manque par distraction et vous retournez à la case départ (sans toucher 20 000)

Mark a un accident de camion et verse dans un fossé. Après un coma il ne reconnait plus sa soeur ni son chien et doute même de la réalité de ses amis, compagnons d'abattoir. On est dans le Nebraska à l'époque Où Georges W. attaque Saddam.

Reginald Weber un neuroscientifique fatigué vient s'occuper de Mark victime du syndrome de capgras (oui c'est moche comme syndrome).

Reginald est marié, il a cinquante ans. Mark est celib' et a dans les 28. Ils sont tous les deux amoureux de Bonnie, une pseudo infirmière. La soeur de Mark, Karin ,se persuade peu à peu qu'elle n'est pas elle-même. Daniel ex-ami écolo de Mark couche avec Karin qui couche avec Bob qu'elle a déjà quitté après avoir quitté Daniel….qui aime Mark. Pfiou!!!

Ça dure plus d'un an pour déboucher sur une vérité floue et improbable ou l'on compare l'immigration des grues du Canada et les massacres irakiens.

Il y a l'apparition d'un cygne blanc parleur, d'une Ford Taurus.

« Bon Dieu mais c'est bien sûr » aurait dit l'Inspecteur Bourrel dans « les cinq dernières minutes ». Hélas il est mort depuis longtemps comme Sherlock Holmes ou Poirot.

Alors je vous laisse comprendre si tout cela n'est qu'un incroyable mélo ou autre chose difficilement identifiable.

Quoiqu'il en soit dans notre merveilleux monde littéraire international ce truc a reçu « un prix »

A lire « du rang(sic) » sept cents pages. le traducteur n'en peut plus lui non plus


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