- Monsieur, sans doute avez-vous côtoyé la gloire et donc la masse qui vous a regardé en jouir. Or, il y a toujours le revers de la médaille.
- La gloire ? Jamais ! Idée ridicule ! Depuis mon enfance, je suis au service de la liberté. Comment ne l’a-t-on pas encore compris ? N’ai-je donc pas été assez clair ? J’ai toujours aimé le peuple…un peuple qui m’a parfois menacé. Ah ! Si vous saviez. J’ai souffert pour mon roi qui m’a trompé, j’ai souffert pour ce peuple que je voulais servir quoi qu’il arrive. Parfois la vie est bien injuste. Sans que je ne l’aie voulu, je me suis élevé haut en effet, mais pour aboutir injustement à cette cave, cette pourriture, ce dénuement…