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Critique de Verdorie


Un thriller fantastique que Lovecraft n'aurait pas renié, tant l'énergumène monstrueux qui va hanter et tuer dans le Muséum d'Histoire Naturelle de New York, semblerait être né de la mythologie cauchemardesque du « père » de la littérature horrifique.
On pourrait se croire à la fin du 19e siècle ou dans un aventure à la Indiana Jones, mais on est bien dans les années 1990 aux balbutiements du tout informatique. Immotique qui va d'ailleurs créer une belle pagaille dans le Muséum où l'agent du FBI Pendergast (dont c'est ici la 1e apparition dans une série qui, jusqu'à aujourd'hui, compte 16 tomes traduits en français) aura fort à faire entre des scientifiques aux théories et discours génético-anthropologiques peu orthodoxes et des représentants peu commodes de divers services des forces de loi et de l'ordre... sans parler de la chasse au tueur à l'appétit pour le moins étrange.

J'aurai apprécié une présence plus prononcée de Pendergast (personnage intelligent et charismatique qui m'a d'emblée bien plu) et un peu moins de balades (trop) longuettes à travers l'énorme réseau dedaléen du musée (dans lequel je me suis d'ailleurs complètement perdue).
Mais le suspense, astucieusement distillé tout au long du livre, et les climax (ou parfois les notes d'humour) à la fin des chapitres m'ont fait dire plus d'une fois : « allez ! encore quelques pages électrisantes avec Pendergast, plutôt qu'avec Morphée »
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