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Critique de Alexmotamots


Le récit commence avec l'emménagement de la famille dans une aile de l'hôtel particulier des Guermantes, rapprochant ainsi le narrateur de Mme de Guermantes dont il est tombé amoureux. Pour se rapprocher d'elle, il contacte Saint-Loup. S'ensuivent de nombreuses pages sur l'art militaire.

Une page également sur les différentes sortes de sommeil, et de nombreuses sur l'Affaire Dreyfus qui divise les familles.

La maîtresse de Robert est désignée par « Rachel quand du Seigneur« , d'après les premiers mots d'un opéra D Halevy « La juive« .

Dans la seconde partie, la grand-mère du narrateur décède après une maladie qui la fait beaucoup souffrir et la diminue physiquement.

Le narrateur revoit Albertine à Paris, mais ses stratagème pour se rapprochèrent de Mme de Guermantes échouent. Celle-ci ne lui accorde son amitié que lorsque sa mère le convainc du ridicule de la situation. Son affection se reporte alors sur Mme de Stermaria.

La troisième partie m'a moins plue, n'étant pas passionnée par les conversations de salons ni par les généalogies de tout ce petit monde.

Et puis j'ai eu l'impression de relire, en plus délayée, « Contre Sainte-Beuve » du même auteur.

Toujours la présence de la lanterne magique, du style composite et du snobisme, entre autre.

L'image que je tiendrai :

Celle du valet de Mme de Guermantes et ses amours contrariées par sa maîtresse.

Quelques citations :

« Mais demander pitié à notre corps, c'est discourir devant une pieuvre. »

« Dans la vie de la plupart des femmes, tout, même le plus grand chagrin, aboutit à une question d'essayage. »

« le genre de charme que je pouvais trouver chez elle et d'avoir l'humilité de ne me plaire que comme un herbier, plein de plantes démodées. »
Lien : http://alexmotamots.fr/?p=2407
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