Certes, la plume est belle et le thème de l'amour (unilatéral, surtout) bien traité. Mais enfin que de longueurs au sens propre comme au sens figuré. Des phrases de 30 km et des descriptions inutiles et ennuyantes qui requièrent une concentration absolue pour qui veut comprendre les mots qui s'enchaînent et ne finissent jamais. Pour qui écrit donc
Proust? Pour lui-même? Qu'espère-t-il? Briller, comme pas mal d'auteurs, par son illisibilité pour faire partie de la "Haute culture"? le second
Proust devra attendre quelques mois voire quelques années avant que je n'ose l'aborder.
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