Sous ce titre a été rassemblé un ensemble hétéroclite de papiers dont l'un d'eux concerne bel et bien directement et explicitement
Sainte-Beuve, mais, même dans ce chapitre, il s'agit moins d'une critique de
Sainte-Beuve que d'une volonté de se positionner et d'exister en affirmant l'impulsion purement subjective qui hantera toujours l'auteur d'À la recherche du temps perdu.
Aussi, la critique attendue (car laissée à entendre par le titre) n'impose rien objectivement au lecteur, mais révèle plutôt quelques traits encore mal définis d'une conviction intérieure immédiate.
D'autre part, on retrouve plusieurs passages qui vont être repris dans À la recherche du temps perdu et qu'il me semble qu'il vaut mieux aller lire là-bas, à moins d'être un expert de
Proust ou d'aimer l'érudition pour elle-même.
Commenter  J’apprécie         320