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Critique de Sabrina1988
Livre lu dans le cadre du challenge solidaire 2019 - des classiques contre l'illettrisme.
J'ai choisi ce livre de Proust qui traîne dans ma bibliothèque depuis que je suis ado sans l'avoir jamais lu, de peur des préjugés sur l'auteur, connu pour ses phrases interminables ; je l'ai choisi dis-je car en voyant Marcel Proust dans la liste des auteurs du challenge, c'est celui qui me semblait le plus "surmontable", "abordable" car le plus court (ouh punaise, je viens de faire une imitation de Proust avec cette phrase à rallonge).
N'ayant jamais eu le courage de m'attaquer à ce grand nom de la littérature française, c'était donc l'occasion.
Cet essai était à l'origine une préface à la traduction faite par Proust de Sésame et les lys de l'auteur Ruskin.
Le livre commence par les souvenirs de Proust de ses moments de lecture, de laquelle il fait un éloge.
Puis petit à petit l'auteur évoque le lien étroit entre le livre et le lecteur et tous les bienfaits de cette activité.
J'ai eu beaucoup de difficultés à aller au bout de cette lecture, de par le style de l'auteur, le langage de l'époque mêlé à ses phrases extrêmement longues qui m'ont trop souvent perdue, même si le sujet du livre en lui-même m'a intéressée (normal, ça parle de livres !).
Sans parler des annotations qui sont aussi longues que les passages auxquels elles se rapportent !
J'ai choisi ce livre de Proust qui traîne dans ma bibliothèque depuis que je suis ado sans l'avoir jamais lu, de peur des préjugés sur l'auteur, connu pour ses phrases interminables ; je l'ai choisi dis-je car en voyant Marcel Proust dans la liste des auteurs du challenge, c'est celui qui me semblait le plus "surmontable", "abordable" car le plus court (ouh punaise, je viens de faire une imitation de Proust avec cette phrase à rallonge).
N'ayant jamais eu le courage de m'attaquer à ce grand nom de la littérature française, c'était donc l'occasion.
Cet essai était à l'origine une préface à la traduction faite par Proust de Sésame et les lys de l'auteur Ruskin.
Le livre commence par les souvenirs de Proust de ses moments de lecture, de laquelle il fait un éloge.
Puis petit à petit l'auteur évoque le lien étroit entre le livre et le lecteur et tous les bienfaits de cette activité.
J'ai eu beaucoup de difficultés à aller au bout de cette lecture, de par le style de l'auteur, le langage de l'époque mêlé à ses phrases extrêmement longues qui m'ont trop souvent perdue, même si le sujet du livre en lui-même m'a intéressée (normal, ça parle de livres !).
Sans parler des annotations qui sont aussi longues que les passages auxquels elles se rapportent !
