Tout un été sans Facebook

J'avais trouvé le Fakir plutôt sympathique et amusant tout en se penchant sur des thèmes d'actualité... mais là, j'avoue que je décroche complétement. J'en suis à la page 137 et je ne sais pas si je vais poursuivre longtemps. L'humour est facile, répétitif et ne me fait pas rire. Les jeux de mots sur les noms propres frise même le ridicule (je crois que Jacob Delafon a été la goutte d'eau), la bêtise de l'inspectrice me laisse pantoise. Et donc je vais suivre le conseil de l'héroïne elle-même : " Il y avait tellement de bons livres à découvrir que ç'aurait été un crime de gâcher son temps, le bien le plus précieux, pour finir un roman" que l'on trouve mauvais.