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Critique de Maphil


Le récit entrecroise le récit picaresque des déambulations de Benny Profane - un vagabond - errant dans les rues de New York, traquant, en compagnie de son gang beatnik de joyeux lurons, les alligators, dans les égouts de la ville - et la patience recherche que mène Herbert Stencil le décrypteur.
"Avril 1899, Florence. Il y a plu derrière V., et dans ce V. qu'aucun de nous n'a jamais soupçonné. Non pas qui, mais qui - qu'est-ce qu'elle est? Dieu veuille que je ne sois jamais appelé à donner réponse à cette question, que ce soit ici ou dans quelque rapport officiel." C'est sur ce passage du journal intime de son père qu'il tombe un jour de 1945. Ce père, Herbert l'a peu connu. Il est mort, dans d'étranges circonstances, au cours d'une enquête, lorsqu'il avait 18 ans. Cette lettre V. devient un des buts de l'existence de cet homme qui décide de mener sa propre enquête pour la retrouver, de l'Alexandrie du début du siècle à l'île de Malte en 1937, en passant par le sud-ouest africain des années vingt, l'énigmatique omniprésence du signe V. partout où se produit une éruption de volcanique violence. L'histoire est un complot, une cabale dont le polysémique signe V. est la clef mystérieuse.
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