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Critique de Romain28
Première incursion dans l'univers de Pynchon . Digressions en pagaille,faux polar ,écriture sous acide et sur fond de Californie early seventies. Rien de répréhensible à priori et l'ennui pourtant qui submerge.L'impression d'avoir déjà (l) (v) u ça .
Pèle-mêle visuel: ELLROY, PULP FICTION ? sans la violence organique de l'un et rituelle de l'autre. Fin du trip au bout de 150 pages.
Pèle-mêle visuel: ELLROY, PULP FICTION ? sans la violence organique de l'un et rituelle de l'autre. Fin du trip au bout de 150 pages.
