Dans ce roman
Rachel de Queiroz évoque la sécheresse de 1915 qui s'était abattue sur le Nordeste brésilien. Certains paysans abandonnaient leur bétail, d'autres tentaient de résister. Beaucoup se retrouvaient, après avoir vendu les bêtes qui leur restaient, sur les routes, avec des enfants de plus en plus moribonds. le ton de Rachel de Queiroz est certes réaliste mais dans ce drame il y a aussi des sentiments humains et la description, à travers plusieurs personnages souvent attendrissants, du sertão.
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