>
Critique de julieannaz
Lucien, un garçon dont l'âge n'est pas précisé, est alité dans une chambre blanche. Ses membres, laissés à l'abandon, ne veulent plus lui répondre, fatigués de ne plus être nourris, depuis trop longtemps.
Alors qu'il pense à mettre fin aux derniers battements de son coeur, une voix prend la parole et l'engage à traverser le mur afin de partir à la découverte de son précipice.
Ainsi démarre ce beau et troublant voyage initiatique, dans les profondeurs de l'âme d'un Lucien en quête de soi-même.
Au fil du roman, une montagne d'indices se met en place, entre des passages extrêmement touchants, d'autres plus tendres, parfois drôles, l'auteur s'amusant à nous perdre dans ces drôles d'abîmes sans queue ni tête.... du moins en apparence !
"Ma rue à moi" est un roman quasiment construit comme un film de David Lynch (oui !), mais enrobé de poésie, empreint de délicatesse, et qui nous renvoie que l'on le veuille ou non à notre enfance, nos émerveillements, nos démons et nos solitudes.
Alors qu'il pense à mettre fin aux derniers battements de son coeur, une voix prend la parole et l'engage à traverser le mur afin de partir à la découverte de son précipice.
Ainsi démarre ce beau et troublant voyage initiatique, dans les profondeurs de l'âme d'un Lucien en quête de soi-même.
Au fil du roman, une montagne d'indices se met en place, entre des passages extrêmement touchants, d'autres plus tendres, parfois drôles, l'auteur s'amusant à nous perdre dans ces drôles d'abîmes sans queue ni tête.... du moins en apparence !
"Ma rue à moi" est un roman quasiment construit comme un film de David Lynch (oui !), mais enrobé de poésie, empreint de délicatesse, et qui nous renvoie que l'on le veuille ou non à notre enfance, nos émerveillements, nos démons et nos solitudes.
