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Critique de MisssLaure
XVIIème siècle. Meamus le graveur, eau-fortier aurait pu exister, on y croit, mais le personnage est fictif, même s'il côtoie des artistes bien réels comme le Lorrain ou Gérard von Honthorst.
Avec des phrases, des paragraphes et des chapitres courts, Quignard nous propose un texte "multiforme », qui oscille entre le romanesque, la biographie, la légende, le documentaire ou la description artistique.
Le roman en est déstabilisant, d'autant plus que l'on passe rapidement d'un genre à l'autre. Je me suis sentie un peu perdue, sans déplaisir, mais hors cadre habituel. Les changements parfois soudains, sans annonce ou lien narratif évident, donnent une impression de discontinuité, qui déstabilise et enveloppe le texte d'une sorte de mystère inattendu.
Comme le dit l'un des personnages, les phrases et les mots sont simples, mais pourtant, j'ai l'impression de ne pas avoir tout compris.
Grand Prix de l'Académie française 2000
Avec des phrases, des paragraphes et des chapitres courts, Quignard nous propose un texte "multiforme », qui oscille entre le romanesque, la biographie, la légende, le documentaire ou la description artistique.
Le roman en est déstabilisant, d'autant plus que l'on passe rapidement d'un genre à l'autre. Je me suis sentie un peu perdue, sans déplaisir, mais hors cadre habituel. Les changements parfois soudains, sans annonce ou lien narratif évident, donnent une impression de discontinuité, qui déstabilise et enveloppe le texte d'une sorte de mystère inattendu.
Comme le dit l'un des personnages, les phrases et les mots sont simples, mais pourtant, j'ai l'impression de ne pas avoir tout compris.
Grand Prix de l'Académie française 2000
